Si je peux certes donner mon modeste avis sur quelques disques glaner par çi, par la, je déteste faire les lives reports, je me sens tout simplement mauvais dans cet exercice. De plus, ne vous étonnez pas de commentaires idiots et futiles de ma part, ainsi que du manque de détails ou de ne pas enjoliver le récit, tout ceci est NORMAL ! (don't like it, don't read it !).
Petit retour rapide sur mon excursion 2012 à New York (je m'y rend chaque année, meilleur ville au monde oblige), j'ai eu la chance d'aller voir la reformation de Refused en concert, et aussi (malgré que ce soit purement tombé au pif) d'aller voir un set au Stone, et pas n'importe lequel, puisqu'il s'agissait de la rencontre entre Ryuichi Sakamoto (curateur du stone durant une partie du mois) et John Zorn, créateur et directeur artistique du club. Nous avons bien cru ne jamais rentré car il y avait déjà pas mal de monde devant l'entrée lors de notre arrivée, mais c'est sans compter sur la débrouillardise de Zorn qui a tassé le club lui même comme un sapeur pompier, faisant asseoir les gens par terre à même la scène (on devait être environ une petite centaine). Je me suis retrouvé assis à deux mètres de lui, fun !
Sinon, un piano sur lequel Sakamoto restera très évasif, tapant et bidouillant les cordes la tête directement dans l'instrument et jouant de manière très éparse et vague, ce qui donnait l'impression que c'est Zorn qui faisait tout le boulot au saxo. Au jeu de l'improvisation, c'est le maître de l'East village en la matière, alors ça reste du solide, il nous fera un festival. Quelques passages ambiant très agréable se dégageront du set, mais l'association aura du mal à décoller, la symbiose entre les musiciens n'étant pas des meilleures. Chaque set du stone dure normalement deux heures, 40 minutes plus tard, c'est déjà le final, même si Zorn aura joué sans s'interrompre, chapeau bas...
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