Compléter le 9 octobre 1984, voici donc la réédition de la première version de Cobra sortis sur Hat hut en 2002 (la pochette est différente, l'originale ci dessus étant plus sympa et à l'origine du Filmworks VII). Tous les collaborateurs de l'époque sont présent (en vrac : Bill Frisell, Elliott Sharp, Zeena Parkins, Anthony Coleman, Arto Lindsay, etc...) pour un grand moment de décadence improvisée. J'avais piquer un bout de kronik de "Cobra" (Vol 2) sur Guts of darkness, je recommence donc pour le volume 1
"Ne cherchez pas une accroche, ni une mélodie, ni un rythme, encore moins un sentiment. Cobra parle à la tête, et encore, notre aire de Wernick risque d'être mise à mal tant ce langage musical nous parait incompréhensible. Néanmoins, au détour d'un bordel, on pourrait presque apercevoir une lueur de fun dans les impros, comme ce morceau "Fantasia" (ou même "Violento") où l'ami Sharp y va de ses contorsions vocales poilantes… C'est sûr, les mecs ont du s'éclater à faire ce Cobra, mais quand on est pas de la partie, c'est tout de suite plus chiant… Une œuvre pour les fans du conservatoire, ou à mettre dans une soirée, où, complètement bourré, vous essaierez de faire croire à vos amis que vous connaissez tout le disque en gesticulant dans tout les sens avant de vomir sur la donzelle tant convoitée (et au passage vous passerez pour le psychopathe de service)."
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