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dimanche 11 avril 2010
JEWLIA EISENBERG - Trilectic
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PAUL SHAPIRO - Essen
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vendredi 9 avril 2010
JOHN ZORN - Ipos book of angels 14
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Suite de "Mycale" et du book of angels era 2010, avec "Ipos" interprété par le sextet qu'on appelle communément "The dreamers" désormais, suite au disque du même nom. J'en attendais beaucoup, j'ai été un poil déçus, je l'annonce d'entrée de jeu. L'amorce Easy listening éxécuté par John Zorn avec "the gift" reste pour moi un monument de son oeuvre. "The dreamers" était inférieur à mon goût, mais "O'o" avait superbement redonner le coup d'éclat de cette veine easy listening exploré par Ribot and co. Ce 4eme volume est assurément excellent (l'un des meilleurs book of angels) mais l'émotion et la beauté des compositions n'a pas l'impact que j'aurais imaginé. Marc Ribot est beaucoup plus mis en avant, l'ensemble sonne nettement plus rythmé, avec un coté surf music assez prononcé. C'est un avantage indéniable pour le live ou j'imagine déja le combo improviser et s'éclater, mais ça ne permet pas de s'évader comme les oeuvres précédentes. C'était la vision du compositeur New Yorkais, on la respecte pleinement ceci dit. Au final, un chapitre marquant de cette série, qui tournera encore un moment dans ma platine malgrés mes petites remontrances dont tous le monde se fout (et comme je vous comprend...)
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dimanche 4 avril 2010
ANTHONY COLEMAN - The abysmal richness of the infinite proximity of the same
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jeudi 1 avril 2010
SOMECK & SHARP - Revenge of the stuttering child
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Place ici a une confrontation des sons : celui de la musique (représenté par Elliott Sharp, artiste Tzadik New yorkais contemporrain) avec celui des sons (représenté par Ronny Someck, poéte nait en Iraq et résident en Israel de nos jours). Les habitués de Tzadik ont déja du entendre des oeuvres de Sharp, celles ci étant plutôt barrées et synthétiques. Et sur ces morceaux, vous pourrez découvrir maintenant un poète qui récite en hébreu des textes plus ou moins incompréhensibles. J'ai depuis quelques jours réécouté le truc, et non, ca ne passera pas pour moi. La musique n'est en fait carrément pas en adéquation avec les récitations, et Sharp n'est pas au top de son inspiration non plus, tapant souvent dans l'instrumentation qui n'a aucun sens et peu d'émotions. Un disque certes différent, mais qui fatigue assez vite aussi. Dispensable, mais c'est dommage, car l'idée de départ était bonne...
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